La robotique au bureau : Comment Pepper change le quotidien des collaborateurs !

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Une étude commerciale de l'Université de Trèves examine l'utilisation du robot Pepper sur le lieu de travail et ses effets sur les collaborateurs.

Eine BWL-Studie der Uni Trier untersucht den Einsatz des Roboters Pepper am Arbeitsplatz und dessen Wirkung auf Mitarbeitende.
Une étude commerciale de l'Université de Trèves examine l'utilisation du robot Pepper sur le lieu de travail et ses effets sur les collaborateurs.

La robotique au bureau : Comment Pepper change le quotidien des collaborateurs !

Une étude commerciale en cours à l'Université de Trèves se concentre sur l'interaction entre les personnes et les robots sur le lieu de travail. L'enquête se concentre sur le robot social « Pepper », qui a été utilisé dans une entreprise régionale pendant six semaines. Le comportement des salariés et leurs attitudes envers les robots et l’intelligence artificielle ont été analysés. Comment uni-trier.de signalé.

Pepper a assumé plusieurs rôles au sein de l'entreprise, notamment accueillir les employés, fournir de la compagnie dans la salle de repos et informer les clients sur les offres spéciales. Ces tâches faisaient partie d’une stratégie plus large des entreprises visant à utiliser la robotique et l’IA pour une plus grande efficacité et pour lutter contre la pénurie de compétences. Les résultats de l’étude montrent que les salariés perçoivent Pepper moins comme une menace que comme un soutien. Les retours négatifs ne se produisaient que lorsque le robot ne fonctionnait pas de manière optimale.

Effets positifs de l'interaction

L'interaction avec Pepper a conduit à une augmentation notable des catégories « évaluation générale », « acceptation sur le lieu de travail » et « évaluation de la similitude visuelle avec les humains ». Il s'est avéré que les employés avaient tendance à surestimer la ressemblance humaine de Pepper. Cette perception reposait en partie sur l'apparence « mignonne » du robot ainsi que sur l'interaction verbale qu'il offrait.

L’une des principales conclusions de l’étude est que la frustration des employés a diminué. Ils ont trouvé les interactions avec Pepper aussi agréables. L'étude montre que les entreprises peuvent avoir une influence ciblée et positive sur l'introduction des robots si les employés disposent de suffisamment de temps pour expérimenter personnellement la technologie.

L’état actuel de la recherche sur les robots

L’utilisation de robots comme compagnons de la vie quotidienne est de plus en plus répandue. Des études empiriques comme celles de l'Université de Trèves font partie d'un projet de recherche plus vaste également envisagé à l'Institut Fraunhofer de génie industriel et d'organisation (IAO). Fort fraunhofer.de Les chercheurs testent différents domaines d’application des robots sociaux. Il s’agit notamment des services de conciergerie dans les hôtels, des consultations dans les commerces de détail et même des agents d’hygiène dans les supermarchés pendant la pandémie de COVID-19.

La pandémie de COVID a donné un nouvel élan à l’interaction homme-robot. Un exemple est le projet NIKA (User-Centered Interaction Design for Context-Sensitive and Acceptable Robots), qui vise à améliorer l’interaction entre les humains et les robots. Une démo en ligne a également été récemment présentée, permettant aux utilisateurs de personnaliser leurs interactions avec les robots. Cette démo, présentée lors de la conférence virtuelle Humans and Computers, présente un jeu-questionnaire dans lequel le robot pose des questions triviales.

De plus, un wiki de modèles est en cours de création qui fournit une collection de modèles de comportement pour les interactions des robots et contient plus de 40 recommandations pour différentes catégories de comportement des robots. L’objectif est d’établir un « langage d’interaction » standardisé et généralement compréhensible pour les robots sociaux.